Articles de gillesgallas

Le comportement des "gens" devient souvent pénible !

Au lieu de collaborer, s'entraider, nous avons : coups bas, lapins, coups de poignards dans le dos et peaux de banane, sans compter les rumeurs désobligeantes...

Or je tombe sur cet article sur le net :

Comment la vie est-elle apparue à partir de matière inerte ? Cette question demeure l'une des énigmes les plus profondes de la science. Roland Riek, professeur de chimie physique et directeur adjoint du nouveau Centre interdisciplinaire pour l'Origine et la Prévalence de la Vie de l'ETH Zurich, affirme que les traces menant aux origines de la vie ont été effacées par l'évolution au cours des trois à quatre derniers milliards d'années. Ainsi, la science doit se fier aux hypothèses et les étayer avec des données expérimentales.

L'équipe de Riek se concentre sur l'idée que les agrégats de protéines, appelés amyloïdes, pourraient avoir joué un rôle clé dans la transition entre la chimie et la biologie. Ils ont démontré en laboratoire que les amyloïdes peuvent se former facilement dans des conditions similaires à celles de la Terre primitive, simplement à partir d'acides aminés et de gaz volcanique. Ces chaînes peptidiques s'assemblent spontanément en fibres.

Les amyloïdes peuvent également se répliquer, répondant ainsi à un critère décisif pour être considérés comme des molécules précurseurs de la vie. De plus, les recherches récentes montrent que les amyloïdes peuvent se lier à l'ARN et à l'ADN. Ces interactions, basées en partie sur l'attraction électrostatique et la séquence des nucléotides, pourraient représenter une forme primitive du code génétique universel.

Un autre avantage des amyloïdes est leur capacité à augmenter la stabilité des molécules génétiques. Dans la "soupe primordiale", où les molécules biochimiques étaient très diluées, cette stabilité accrue aurait pu être cruciale. Les molécules à longue durée de vie s'accumulent plus fortement que les substances instables, suggérant que la coopération moléculaire, plutôt que la compétition, aurait pu être un facteur déterminant dans l'apparition de la vie.

Riek souligne que si la compétition est centrale dans la théorie de l'évolution de Darwin, la coopération a également joué un rôle majeur. L'interaction stabilisatrice entre les amyloïdes et les molécules d'ARN ou d'ADN bénéficie aux deux classes de molécules. Cette découverte pourrait révolutionner notre compréhension des origines de la vie.

Source: Journal of the American Chemical Society

Alors ? Entraide et bienveillance ou bien vacheries et médisances ? Choisissez bien votre camp ! 

Je vous propose de découvrir ce que dit Rodolphe Bacquet à propos du sens du toucher. Il fait suite à l'émission d'Arte disponible en replay jusqu'au 31 mai 2021...

Chers amis,

Le toucher est un sens dont nous commençons seulement à comprendre l’importance primordiale… parce que la crise du Covid nous en a en grande partie privé.

Depuis un an les « gestes barrière », la quasi-criminalisation des contacts physiques,

l’interdiction de prendre ses proches dans ses bras en Ehpad, la prohibition des poignées de main, le bannissement des bises, ont des conséquences désastreuses sur notre santé psychique. Et sur notre santé tout court !

C’est le cri d’alarme poussé par plusieurs scientifiques dans l’excellent documentaire "Le Pouvoir des caresses", diffusé il y a quelques semaines sur Arte.

Je vous invite à voir cette émission en « replay » sur le site de la chaîne jusqu’au 31 mai 2021.

Le fait d’interdire aux êtres humains de rentrer en contact physique les uns avec les autres, disent ces scientifiques, est une situation inédite dans l’histoire des primates.

Elle est responsable d’une hausse ahurissante de troubles psychiques et du taux de dépression dans le monde depuis un an.

Il manque bel et bien quelque chose à notre humanité, que seules des mains bienveillantes peuvent nous apporter. Et pas les visioconférences, pas le télétravail, pas le tout-virtuel.

Ces scientifiques parlent de « pandémie de solitude de masse » provoquée par ce phénomène. Car, oui, la carence en contact physique ferait dépérir l’être humain.

Nous sommes modelés par les mains qui nous aiment

La place du contact physique et de la caresse commence à notre naissance : les caresses de nos parent et de ceux qui nous aiment, cela a été prouvé scientifiquement :

régulent notre température ;

stabilisent notre respiration ;

régulent notre glycémie ;

nous permettent de percevoir les limites de notre corps ;

stimulent notre croissance ;

conditionnent notre développement cognitif.

Des études sur nos cousins primates les plus proches – les chimpanzés – ont révélé qu’un déficit de contacts physiques dans les premiers mois de la vie entraînait des conséquences dramatiques : les bébés chimpanzés qui ne reçoivent pas suffisamment de caresses de leurs parents meurent au bout de quelques semaines.

Et ceux qui survivent à ce manque de caresses gardent des séquelles à vie :

retard du développement, notamment cognitif ;

altération de la croissance ;

faible système immunitaire ;

incapacité à mémoriser.

Mais, même passée la petite enfance, le contact physique, bienveillant, reste un ingrédient capital de notre santé.

Il serait même l’une des raisons expliquant la plus grande longévité des personnes vivant en couple, comparées à celles vivant seules.

Le langage des caresses… et la recette de la caresse idéale

Les bienfaits des caresses dépendent également de qui nous les prodigue.

Il ne suffit pas de se caresser soi-même pour profiter des bienfaits santé des caresses : nous avons besoin des autres pour cela.

Les recherches menées par l’équipe de Rebecca Böhme en Suède nous expliquent par exemple un phénomène que vous connaissez tous : pourquoi on n’arrive pas se chatouiller soi-même.

La réponse est simple et complexe à la fois : lorsque quelqu’un nous touche, le stimulus physique n’emprunte pas les mêmes circuits cérébraux que lorsque nous nous touchons nous-mêmes.

Par exemple, nous ne nous rendons même pas compte que nous nous touchons le visage plusieurs centaines de fois par jour.

Alors que si quelqu’un d’autre nous effleure le visage, nous le sentons immédiatement !

L'équipe d'Hakan Olausson de l'université de Göteborg a découvert un type de terminaisons nerveuses spécifiquement dédiées au contact avec l'autre.

Situées dans les zones pileuses, le dos et les avant-bras, ces « fibres du toucher-caresse » appelées nerfs CT envoient leurs signaux électriques en direction de l’insula postérieure, une petite région du cerveau essentielle au déclenchement des émotions positives.

Quand ces fibres sont stimulées par une caresse, elles font naître une sensation de plaisir diffus.

C’est progressif, car à la différence des autres fibres du toucher qui envoient leurs signaux aux zones spécialisées du cerveau à 240 km/h, celles du toucher affectif les émettraient à la vitesse de… 3 km/h !

A chaque fois qu’une main étrangère rentre en contact avec notre peau, un mécanisme de « lecture » se met inconsciemment en branle dans notre corps, pour interpréter l’intention de celui ou celle qui nous touche : est-ce un geste d’amitié ? De désir ? De consolation ?

Les chercheurs ont découvert que la caresse idéale est effectuée à une vitesse de plus ou moins 2,5 cm par seconde, avec une pression modérée et par une main affichant une température équivalente à celle du corps caressé, soit entre 32 et 34 degrés.

Tant de science sur la caresse ne manquera pas de vous faire sourire…

Les caresses sont plus consolantes que les mots… et sont d’excellents antidouleurs

Vous avez probablement déjà entendu parler de l’ocytocine, que l’on appelle l’hormone de l’amour.

Caressé par une main aimante, notre corps en sécrète immédiatement, renforçant notre sentiment de confiance, de sécurité, d’attachement. C’est la même hormone qui tisse des liens indéfectibles entre le nourrisson et sa mère, mais aussi des liens de fidélité entre deux êtres qui s’aiment.

Il y a aussi l’endorphine, l’hormone du plaisir. Les caresses d’une personne bien intentionnée – comme un massage, par exemple – en provoquent une sécrétion abondante.

C’est pourquoi un massage peut être si relaxant et apaisant, ou qu’un toucher physique de consolation est parfois plus efficace que des paroles.

Les caresses sont également de redoutables antidouleurs.

Après plusieurs tests réalisés sur un groupe de personnes en bonne santé, le Dr Line Löken, membre de l’équipe de Göteborg et auteur d’une autre étude, constate : « Les impulsions résultant des caresses amortissent les impulsions de douleur. »

Voilà pourquoi les couples qui s’étreignent souvent sont… moins sensibles au stress extérieur.

Mais comment recevoir ces précieuses étreintes quand on vit seul ?

Des chercheurs canadiens suggèrent que c’est le massage qui s’en rapprocherait le plus.

Ils ont montré qu’avec 45 minutes de massage par semaine, le taux de lymphocytes, les globules blancs chargés de notre défense immunitaire, augmenterait de 87 %.

Ils ont aussi observé une baisse du cortisol, du rythme cardiaque et de la pression artérielle, éléments indicateurs d’une baisse de la sensibilité au stress.

Je résume : pour faire face à un virus, pour renforcer notre système immunitaire face à lui, il serait plus efficace de prescrire des câlins… plutôt que de les interdire.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet

On se gausse facilement de l'Inde qui a encore un système de castes, avec la catégorie la pire, au bas de l'échelle : les Intouchables. Je pense qu'on ne devrait pas se moquer. Les bébés sont accueillis avec beaucoup de câlins dans nos contrées, mais par la suite, quelle misère ! Cela fait maintenant plus de 8 années que je travaille ce sujet de la câlinothérapie et je peux témoigner qu'on est très loin d'une société où l'empathie tactile serait de mise... Et qu'on ne mette pas cela sur le dos de la pandémie. Il y a 8 ans alors que je commençais mes recherches, une femme m'a dit : "Ah ? à ton âge tu as besoin de câlins ?". Il n'y a pas d'âge en effet pour souffrir du manque de contacts tactiles... Que c'est cruel...

Voici un concept intéressant !

je suis référencé sur "Mine de tout", l'endroit où on trouve... Tout...

https://minedetout.com/listing/gilles-gallas/

 

Pour habiller le mur nord de mon habitation, j'ai choisi de poser des tavaillons : l'objectif étant double, visuel tout d'abord mais aussi thermique, pour créer un espace entre le mur et le vent du nord qu'on appelle ici "l'écir" (prononciation : échire...)

Les tavaillons viennent d'une entreprise de l'Allier, à une centaine de kilomètres du Sancy... Ils sont en châtaignier, le bois le meilleur qui soit pour ce genre de travail...

Voici le site pour s'en procurer...

https://www.letavaillondelallier.fr/index.php

et une photo du résultat chez moi...

26 au 29 septembre 2019 : Festival pluvieux, festival heureux !

Lors des éditions précédentes, il m'est arrivé de filmer et mettre des extraits sur Dailymotion. Cette année j'ai pris le parti de prendre des photos de tous les artistes qui passent. A mi-parcours, je peux déjà dire que l'exercice est très agréable et donne le contact avec les musiciens...

jeudi 26 : ouverture du festival avec Simon and the Golden Side Men. Excellent concert, notre batteur national est au top, sourire aux lèvres et baguettes de tambour virevoltantes. Le groupe joue des compositions : une très belle découverte ! Un concert juste instrumental, un guitariste virtuose, des belles mélodies : que demander de plus ?

Un peu plus tard, Cinelli brothers. du bon blues incontestablement, encore un bon batteur et un guitariste anglais de qualité, un gaucher perdu au milieu des musicos italiens vivant à Londres. Tom Julian-Jones a dit qu'il était né en Angleterre mais que son esprit était né à Chicago... Si on pouvait dire à l'autre tordu que ses murs c'est "bullshits", ça serait salutaire... D'ailleurs en clin d'oeil les Cinelli ont repris "Black Magic Women" pour finir le concert, comme quoi la musique se moque des frontières !

vendredi 27 : journée chargée pour moi... à 15 h 30 au 1050 (l'organisation est trop marrante, mais le côté amusant ne fonctionne pas en anglais). Ben Levin. Un jeune américain au piano accompagné par une bonne batterie. Ben a chanté beaucoup de complaintes sur les "baby" qui sont loin, qui sont à ses côtés, qui sont parties, qui vont revenir ou qui feraient mieux  de ne pas partir... Bon c'est l'un des thèmes majeurs dans le blues n'est-ce pas ? Ben fera une jolie apparition à minuit pour le boeuf du soir à la Brasserie du Soleil...

Ben Levin a excité quelques dansuers au 1050...

En soirée donc : Tweed avec au chant Gervis Myles. Ce dernier m'a bien précisé on prononce "Gueurvis", oups mon anglais est un peu défailant quand même...  Encore une superbe prestation avec un bassiste de grande qualité (et son instrument a l'air d'y faire quelque chose, car dans le boeuf, Jean-Marc Despeignes en a bien profité - c'est le bassiste de Simon et des hommes au côté doré...) un saxo, Andrew Spadafora de grande classe et enfin un chanteur noir pour du blues ! Et donc un morceau de bravoure par Gervis, un chant a capella dans la salle, avec le groupe en sourdine sur scène. Le public était aux anges...

Andrew m'a dit "Good shot !"

Et voyez le seul chanteur noir du festival :

Pourquoi journée chargée me direz-vous ? Eh bien j'ai écrit une chanson ! Toutes ces musiques, ces rythmes, ça m'a inspiré ! "Inspiré par Anne" ça pourrait être le titre... comme vous êtes en train de me lire probablement à cause des câlins et de la câlinothérapie, ma chanson est inspirée d'une expérience désastreuse avec une fille qui refuse les "hugs"... c'est tellement triste qu'il faudrait une musique blues sur mon texte...

comme Tweed est susceptible de venir voir cette page : voici tout ça en english défaillant :

September 26-29, 2019: Rainy festival, happy festival!
In previous editions, I have filmed and put excerpts on Dailymotion. This year I took the side of taking pictures of all the artists who pass by. Halfway through, I can already say that the exercise is very pleasant and gives contact with the musicians ...
Thursday 26: festival opens with Simon and the Golden Side Men. Excellent concert, our national drummer is at the top, smiling and twirling drumsticks. The band plays compositions: a beautiful discovery! A fair instrumental concert, a virtuoso guitarist, beautiful melodies: what more can you ask for?
A little later, Cinelli brothers. of good blues unquestionably, still a good drummer and a quality English guitarist, a left-handed lost among the Italian musicos living in London. Tom Julian-Jones said that he was born in England but that his mind was born in Chicago... If we could tell the other twisted one that its walls are "bullshits", it would be beneficial... In a wink, the Cinellis took over "Black Magic Women" to finish the concert, as music makes fun of borders!
Friday 27: busy day for me... 3:30 p.m. at 1050 (the organization is too funny) Ben Levin. A young American at the piano accompanied by a good drums. Ben sang a lot of laments about the "baby" who are far away, who are by his side, who are gone, who will come back or who better not to leave... Well that's one of the major themes in the blues isn't it? Ben will make an arrival at midnight for the evening beef at the Brasserie du Soleil...
In the evening: Tweed, with Gervis Myles singing. The latter made it clear to me that we pronounce "Gueurvis", oops my English is a little unfailing anyway ...  Another superb performance with a high quality bassist (and his instrument seems to do something about it, because in beef, Jean-Marc Despeignes took advantage of it - it's the bassist of Simon and men with the golden side ...) a saxophone, Andrew Spadafora of great class and finally a black singer for blues! And so a piece of bravery by Gervis, a capella song in the room, with the band muted on stage. The audience was thrilled...

Why would you tell me a busy day? Well I wrote a song! All these musics, these rhythms, it inspired me! "Inspired by Anne" it could be the title... as you are probably reading me because of the hugs and the cuddly therapy, my song is inspired by a disastrous experience with a girl who refuses the "hugs" ... it's so sad that it would take a blues music on my text... Oh, really... (chorus in english, verses in french...)

Samedi 28 septembre 2019

Je loupe Louis Mezzasoma qui passe à la Brasserie Le Paris (moi je suis allé au Petit Paris). Pas grave ça sera pour le lendemain !

On entame la journée avec Richard Van Bergen and Rootbag à la Brasserie du Soleil... Du bon gros blues comme dit le programme... J'ai l'impression par moments d'avoir John lee Hooker sur scène, et aussi parfois Junior Kimbrough... Trop cool ! Juste un peu de mal avec l'anglais accent hollandais, comme  ça le fera le soir mais c'est pas bien grave. Concert le plus bluesy des 4 jours.

On arrive à la soirée de Gallas, euh non la soirée de gala :

La salle est pleine donc l'ambiance est chaude... La pluie et le vent m'ont dissuadé d'aller me baigner à la source Croizat qui sort librement de la montagne à près de 40°... Du coup on lâche pas les artistes quand ils annoncent le dernier morceau, ça non !

Pour commencer on a donc Lindsay Beaver qui chauffe la salle. Chouette concert, elle joue de la batterie debout, Michel Berger doit réécrire sa chanson. Belle voix, je crois entendre Janis Joplin de temps à autre. Le morceau final, elle à la guitare toute seule comme une grande est fameux mais je n'ai pas retenu qui elle a repris. En tous cas elle est prête pour un Taratata !

Deuxième concert pour cette soirée : Ragtime Rumors

A nouveau des hollandais, toujours bizarre leur façon gutturale de prononcer l'anglais. Mais alors des virtuoses avec les instruments de musique ! Wouah ! Niki Van der Schuren est solaire avec sa chevelure blonde, sa voix douce et son saxo baryton... Baryton !!! ça ne va pas du tout pour une fille a priori mais en fait si ! Son morceau à la flute est cool... Mais les autres musiciens du groupe ne sont pas dominés du tout et c'est un groupe à voir vraiment.

Dimanche 29 septembre 2019

Prenons le café à 13  h 30 avec Thom and the Tone Masters...

les voici de jour :

Mais j'ai aussi une photo de leur concert de la veille au soir :

Comme c'est des "payses" je suis tenté de dire que c'est les meilleurs, entre normands hein... Mais je ne veux pas entrer dans ce jeu, tout le festival était chouette voilà tout !

C'est pas parce qu'ils sont "da Rouen" qu'ils sont les meilleurs, c'est juste qu'ils ont des belles compos, des belles reprises et une belle entente.

Un peu plus tard, on écoute (brièvement j'avoue) Louis Mezzasoma.

C'est très bon mais la salle est vraiment trop petite, je ne comprends pas pourquoi les organisateurs maintiennent des concerts au "Petit Paris" qui comme son nom l'indique est... exigu...

Le 13e Volcanic Blues Festival laissera des traces ! Comme j'ai dit à Simon Boyer en 2018 : "il faudrait que le festival dure 361 jours et on aurait juste 4 jours à attendre le prochain..." Comment lui faire comprendre ? Comment lui faire entendre ?

La pluie a laissé des traces et les notes de musique sont dans ma tête... (il fallait bien une 13e photo...)

Ah, voici quelques précisions fournies par Simon :

merci pour ce petit reportage ... c'est très sympa !! 

du coup voici quelques précisions: 

- le festival est organisé par la mairie , mais  il n'y a pas de salle municipale  susceptible d'accueillir des concerts ... donc les concerts ont lieu dans des établissments privés qui acceptent d'accueillir des groupes ... malheureusement il n'y a pas beaucoup d'établissements qui jouent le jeu ... c'est regrettable mais c'est comme ça ... du coup on fait au mieux avec ceux qu'on a : et "le petit paris" est ( avec le casino ) le premier à avoir répondu toujours présent !!! de plus beaucoup de musiciens ( et même une partie du public ) aiment s'y retrouver ... alors oui c'est petit, mais il y a une bonne ambiance ... voilà pourquoi nous continuons à proposer des concerts dans ce minuscule endroit.

- Simon and his Golden Side men ... ça pourrait se traduite par " simon et ses musiciens accompagnateurs de métiers en or " ... en anglais on appelle  "side man "  un musicien dont le métier est d'accompagner des artistes connus dans différents orchestres ... tous les musiciens et tous les artistes ne sont pas des groupes constitués ( genre Beatles, U2, big band de Duke etc ...)  souvent un artiste est accompagné par un un orchestre ( ou groupe)  dirigé par un chef d'orchestre dont l'une des tâches est de constituer le groupe ... et tous les musiciens qui constituent ce groupe sont des " side men" ... ils font ça toute l'année ... ils enchainent par exemple une tournée avec Chuck Berry ... puis une autre avec Aretha Francklin ... puis un disque avec Sinatra etc ... et mes 3 copains du groupe ( ainsi que moi même ) nous sommes justements de s"side men" toute l'année ... et comme nous sommes hyper talentueux, alors j'ai rajouté " en or" ... voilà !

Je viens de voir l'un des derniers épisodes de la saison 3 de 13reasonswhy. Un magnifique passage où Clay Jenssen prend dans ses bras le garçon qui a subi un viol de la part du méchant footbaleur à la fin de la saison 2... La scène est extraordinaire : Clay demande l'autorisation à son ami de le prendre dans les bras. L'ami accepte et fond en larmes dans le câlin réparateur. Et Clay laisse faire, laisse couler les "larmes de guérison" sans intervenir. Une certaine "thérapeute" soit-disant formée en relation d'aide devrait bien en prendre de la graine ! Point besoin de formation spécialisée pour effectuer un câlin réparateur et laisser l'émotion s'écouler sans stupide intervention. Enfin heureusement cette thérapeute a cessé de nuire, fermé boutique...  

Et je ne peux m'empêcher de pense à tous ces gens dans le secteur médical que j'essaie de contacter et qui ne se rendent pas compte de l'intérêt de la câlinothérapie... Shame on you, doctor !

J'ai la chance d'habiter à quelques kilomètres du premier sylvatorium de France ! Il se trouve sur la commune du Mont Dore (Puy de Dôme). 

Entrez voir :

Un parcours en forêt avec des "spas forestiers" et des conseils pour passer un moment zen.... Voyez plutôt :

Un endroit propice au ressourcement (c'est moi sous le chapeau) :

Une excellente initiative dans le massif du Sancy, montagne qui recèle bien d'autres endroits plus sauvages et plus isolés pour pratiquer... Suivez-moi donc...  Prenez contact ou regardez l'agenda des sorties...

Magnifique balade le 2 août 2019 dans la Vallée de Chaudefour...

Il faut 2 heures pour aller faire un câlin au dyke spécialement incrusté dans la vallée...  Nous avons mis près de 4 heures ! C'est qu'il y a beaucoup de plantes à observer encore à cette époque et il faut prendre le temps de les connaître, leur dire bonjour... Le câlin à "Grande Astrance" a été magique mais ce n'est qu'un exemple... Les arbres méritent notre attention certes... pour bien faire il faut se connecter avec la Nature dans son ensemble !

Voilà un selfie "dos au mur" : juste au-dessus de moi, 185 m de rocher... 3,5 km au-dessous de moi : le magma...

Au retour une photo du Puy des Crebasses laisse apparaître une arche rocheuse...

Détournement de chanson

(Diversion of a song, just one word change...)

Water of hugs deep in the ground
But there ain't no water here to be found
Some day baby when the river runs free
It's gonna carry that water of hugs to me

There's a bird up in a tree sitting up high
Just waiting for me to die
If I don't get some water soon
I'll be dead and gone in the afternoon

Water of hugs deep in the ground
But there ain't no water here to be found
Some day baby when the river runs free
It's gonna carry that water of hugs to me

Mark, si tu nous entends ... :-)

 

Il faut bien vivre avec son temps, on peut choisir certains matériels utiles (et éviter les réseaux a-sociaux pour conserver du temps à soi).

Lors des prochaines apparitions dans les salons du livre ou autres réunions publiques, je serai en mesure de montrer tous mes livres publiés au format numérique et on pourra acheter ces versions numériques à moindre coût... Si un aimable visiteur de ce site souhaite lire ma prose (ou ma poésie) il est possible de commander les ouvrages sous forme numérique ! Paiement par Paypal (comme quoi je ne suis pas systématiquement anti-américain...) Passer par la rubrique contact pour en savoir plus !

Un précision ajoutée quelques temps après la création de cet article : je suis ravi de ma liseuse. Déjà on ne s'engueule pas, elle ne ronfle pas la nuit au risque de perturber mon sommeil de piètre qualité, elle est compréhensive, gentille, belle, bref une liseuse hors pair ! Un conseil : prenez la, si ça vous tente, assez grande et avec un rétro-éclairage permettant de faciliter la lecture dans toutes les conditions. La fatigue visuelle de la lecture est amoindrie et j'avoue avoir retrouvé un goût pour la lecture. En outre, comme vous pouvez le constater avec la liste ci-dessous : on peut avoir des ouvrages à meilleur coût, et dans les circonstances de vie de nos jours, ça compte... 

Voici la liste des ouvrages disponibles pour les liseuses :

* « Ouvrir les bras pour changer le monde », au format epub, prix : 4,99 € comme sur Librinova.

Au format pdf :

* Textes légers pour fin de repas lourds

- Le Vieux capitaine d’Afrique et autres monologues

- Guerre aux inventeurs et autres monologues

- Le Zizi-goui et autres monologues

Trois livres compilant des monologues humoristiques, pour la plupart début XXe siècle avec un mélange de créations modernes. 3 € les trois livres

* « La méchanceté du hasard et autres déplaisirs notoires »

Inspiré de la fameuse « première gorgée de bière » de Philippe Delerm, ce livre commence par la désagréable « dernière gorgée de bière »… Petite intro de Philippe Delerm himself… 2 €

* « Doux et curieux mélange de poésies et d’aphorismes avec un peu de salace »

Incluant la « Recette du câlin en boîte » ! Ainsi que les premiers traits d’humour… 2 €

* « Tentative de décryptage des signes particuliers »

Le langage des fleurs qui dit que le pissenlit « sème sa semence », a inspiré diverses réflexions sur les signes particuliers que nous envoyons ou observons… La longueur des jupes des femmes, les signes divers et variés que nous pouvons utiliser pour communiquer de façon cryptée… 2 €

* « Cavale en Normandie »

Roman policier pas spécialement marrant et dont le projet consiste à « relier les contraires ». Inspiré par un personnage historique, ce roman se lit aisément mais si on lit trop vite on passe à côté de tout un monde caché… 2 €

* « Hormis les ennuis tout va bien »

Ben ouais c’est vrai non ? Création de petits textes humoristiques et mélange de traits… 2 €

* « Occasion… d’en rire »

Le tout premier livre neuf d’occasion. Déjà tout un programme !

Incluant des traits, des mots truqués, des aphorismes avec des monologues et des dialogues humoristiques… 2 €

* « Mon jardin c'est la forêt »

Comment trouver et traiter 50 plantes sauvages parmi les plus connues. 5 €

* « Occase… d’en rire »

Le deuxième livre neuf d’occasion !

Incluant le mot laid de la langue française, encore des aphorismes et des dialogues, s’approchant parfois des diablogues de Roland Dubillard… 2 €

Fin septembre 2018, 12ème Volcanic Blues Festival au Mont-Dore

Un très bon cru avec de belles découvertes... Cette année par exemple, nous avons eu la chance d'avoir TIa, une blueswoman locale... Son avant dernier album "Muddy Gurdy" est vraiment génial !

Et puis à la Taverne, une autre blueswoman presque locale puisque le groupe vient de Lyon... Sophie Malbec, la voici parmi le public :

Je pourrais citer d'autres très bon groupes comme AWEK (un festival sans AWEK serait moins bien), The Ride...

Comme chaque année je vais dire à Simon Boyer : merci !